DLUO, DDM et DIY : Les bonnes pratiques pour consommer de l’e-liquide toujours au top !

Si vous vous êtes mis à vapoter il y a un instant, vous auriez alors déjà croisé quelque part les inscriptions DLUO et DDM ? Même si ces sigles n’avaient encore jamais retenu votre attention, vous aviez au moins une fois entendu parler des e-liquides faits grâce aux techniques du « Do It Yourself ». Dans cet article, découvrez les sens cachés de ces terminologies qui suscitent beaucoup d’inquiétudes dans le monde de la vape. Vous aurez aussi droit à des conseils qui vous permettront de toujours consommer du e-liquide au top.

Qu’est-ce que c’est que la DLUO et la DDM ?

Les e-liquides sont règlementés en France par les dispositions prises par les autorités, en l’occurrence par la TPD (loi sur les produits du tabac) secondée par l’AFNOR (Association française de normalisation). Grâce aux consignes imposées par ces dernières, les fabricants de e-liquides sont tenus d’inscrire diverses informations sur le flacon, dont les dates d’utilisation comme le DLUO et le DDM. Cependant, ces dates portent beaucoup à confusion en ce sens qu’elles renseignent chacune sur une échéance particulière.

Ainsi, la DLUO signifie « Date Limite d’Utilisation Optimale », tandis que la signification de DDM est « Date de Durabilité Minimale ». Il faut aussi noter que DDM est l’ancienne façon de renseigner le DLUO il y a quelques années. Les anciens du vapotage sont donc plus habitués à cette inscription qui ne se trouve plus sur les flacons des e-liquides. Mais, que veulent réellement dire ces inscriptions ?

En réalité, la DLUO n’a rien à avoir avec la date de péremption ou d’intoxication. Elle renseigne plutôt sur la période optimale d’utilisation des e-liquides. En pratique, la DLUO passée, le produit risque juste de perdre des saveurs, sans un quelconque risque d’intoxication de l’organisme du consommateur. Mais, à partir de quand il ne faut plus consommer un e-liquide ?

La date de péremption d’un e-liquide est cachée derrière la DLC. En effet, DLC signifie « Date Limite de Consommation ». C’est donc après la DLC d’un e-liquide qu’il n’est plus conseillé de s’en servir pour vapoter. Quand il s’agit d’eliquide DIY, vous pouvez regarder sur les composants.

Quelles sont les bonnes pratiques pour toujours consommer du e-liquide au top ?

Avoir un excellent e-liquide ne suffit pas, il faut savoir le conserver pour en tirer la meilleure partie. Voici donc quelques conseils qui vous aideront à garder votre e-cig en parfait état.

Conservez correctement votre e-liquide

La bonne conservation, c’est la base pour toujours bénéficier d’un e-liquide au top. Par exemple, si vous laissez votre e-cig à l’envers ou sur le côté, l’e-liquide peut se diriger vers les trous de fuite. Rangez donc toujours votre e-cig à la verticale. Vous éviterez ainsi d’inonder l’espace aérien. Conservez aussi le e-liquide à l’abri de l’eau. En outre, tenez-le à l’écart de la lumière directe du soleil et des températures élevées.

Gardez votre e-cigarette propre

Des bornes sales peuvent entraîner une mauvaise expérience de vapotage. Prenez donc le soin de nettoyer la borne de votre cigarette électronique avec du coton-tige pour la garder propre. Vous pouvez également nettoyer l’extrémité de l’atomiseur de la même manière. D’ailleurs, l’entretien de votre atomiseur permet de maintenir des performances élevées et de prolonger la durée de vie de ce dernier.

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